Le 09 avril 2020
Nous pourrions, aujourd’hui encore, répéter, reformuler,
Réitérer des invitations sans cesse renouvelées,
A vous poser pour, en vous, laisser émerger
Ce qui longtemps est resté « occulté »
Et qui attend patiemment d’être écouté.
Alors osez expérimenter ce que vous savez !
Pas de solution extérieure, mais dans votre intériorité,
Réside, peut-être encore cachée, votre Clé !
Celle qui ouvrira grand les portes et volets,
De votre « maison », permettant ainsi d’aérer, de libérer
Ce qui a été inlassablement mis de côté
Durant toutes ces longues années.
Certains désapprouvant ce procédé
Car non garanti de résultats ou d’effets
Immédiats pouvant être constatés,
N’osent même pas se risquer à essayer,
Par peur d’échouer ou de découvrir une « vérité »
Qu’ils en appréhendent même l’idée de l’observer.
D’autres considérant avoir, déjà de nombreuses fois, essayé,
Estiment que c’est aux autres maintenant de manifester
Une « remise en question » pouvant fluidifier ou libérer
Ce sentiment d’impuissance auquel ils sont « confrontés ».
Comment obtenir ce qui est profondément désiré,
Ou comment alors se faire respecter ?
D’autres encore rêvent de prendre une sorte de « cachet »
Qui ôterait d’un coup des symptômes mal identifiés
Rendant leur vie inconfortable, difficile à gérer,
Comme si l’absence de difficultés, une sorte de facilité
Était le gage, le signe extérieur d’une réussite avérée.
Ne voyez-vous pas ce doux leurre vous aveugler ?
Le « comment faire pour être » remplacé par « être avec ce qui est »,
Les pensées, les émotions, les tensions de la corporalité,
Serait une approche autre pour tous ces inconforts ainsi jugés,
Ces « parasitages » pour une Paix en soi éprouver.
La Paix, le Silence, L’Amour ou l’Absolu est ce tissu de l’humanité
Inaltérable, autorisant le Tout ou Rien à se manifester.
Que pourrions-nous, aujourd’hui encore, rajouter
Si ce n’est que chacun est face à lui, ses croyances, sa responsabilité,
Que l’état intérieur est la vie extérieure manifestée,
Que le « pire » et le « meilleur » ne sont pas séparés,
Et que le sens de ce contexte est celui que chacun va y donner.
S’occuper de soi reste la « posture » la plus bienveillante et adaptée.